Je revendiquai dans ma présomptueuse jeunesse les legs de Beckett et Michaux… Puis des généalogistes peu rigoureux m’ont assuré que j’étais l’héritier de Lautréamont, de Jarry, de Jules Renard, de Queneau… Au bout du compte, je constate que je n’ai hérité de rien et que je risque fort de ne laisser à mes filles qu’un fonds de commerce liquidé sans repreneur en vue.
Voyant que frère McLaren
revenait à sa hauteur, frère Ferrari allongea sensiblement le pas à l’entame du
troisième tour de cloître.
Et il me faudrait
croire que cette rouille n’était pas là avant le jeune fer qu’elle
ronge ?!