Il vécut longtemps sous cette épée de Damoclès, laquelle, quand enfin elle se décrocha, le débarrassa très proprement de ladite tumeur au cerveau, prétendument inopérable, qui devait lui être fatale.
Le
pont s’est effondré. On traverse désormais à gué en bondissant allégrement sur
ses pierres.
Parfois,
avec un sourire un peu las ou blasé, je pense au choc que produira la réédition
de mes livres, un jour futur, dans un monde plus éclairé.