Craquements d’armoire ou de plancher, c’est le lutin qui a apporté les planches de la forêt. Il est resté. Il vit maintenant dans ta maison et, la nuit, se balade.
Le
chat tourne sur lui-même, essayant d’attraper sa queue. S’il y parvient, il
gagne un tour de plus.
Le
regard ne sait que sonder la distance et le vide qui me séparent des êtres et
des choses. Il me confirme à chaque instant que l’île est déserte et que je
suis seul.