L’araignée en mourant se recroqueville. Elle joint pieusement sur son thorax quatre paires de pattes et se confie à Dieu qui, dit-on, refuse pourtant de l’accueillir, craignant sans doute pour la propreté des plafonds du royaume des cieux.
Une flèche mortelle de
temps en temps, c’est vrai, mais l’arc nous décoche beaucoup plus souvent son
franc et large sourire.
Agathe a aujourd’hui 15
ans ! C’est bien joli, mais si elle continue à ce rythme, elle pourrait
bientôt revenir à ma hauteur puis me coiffer au poteau ! Prends ton temps,
ma belle, de toute façon on se retrouve à l’arrivée.