L’ornithorynque – loué soit-il pour cela – a fait l’impossible pour fédérer, unir, rassembler et réconcilier dans sa chair tous les êtres de ce monde. Il aura même su finalement incarner l’infernal tourment de la créature humaine indéterminée.
On gravit les marches
du perron à l’autre bout duquel un second escalier nous invite aussitôt à redescendre.
Nul n’est jamais entré dans cette maison.
Il me semble
quelquefois que la phrase la plus belle que j’écrirai sera celle qui fera
décrocher mes derniers lecteurs.