J’ai fait breveter un nouveau modèle de moulin à poivre. Celui-ci est en effet pourvu d’ailes que font tourner les éternuements du meunier qui l’utilise (et qui vit avec sa famille dans ses combles), éternuements provoqués justement par le poivre réduit en poudre (épouse et enfants éternuent aussi). Je n’ai pas encore trouvé le moyen d’amorcer le mouvement, mais ensuite ça va tout seul et ça ne cesse plus.
Le chasseur de papillons
décoche des coups droits et des revers de tennisman ; mais il smashe avec
le filet.
Tout s’effondrait
autour de moi. Crus-je, puis ma tête heurta le sol et je mourus au milieu des
choses immuables.
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