Les corps des opposants fusillés gisaient dans leur sang, mais leurs ombres sur le mur étaient restées debout. Le tyran fou de rage ordonna la destruction du mur. Ainsi les forces de résistance purent entrer dans la place.
Comme si le précieux
secret enfoui dans l’obscur pouvait être autre chose qu’une lampe éteinte.
Franchement, les flamants
roses n’ont-ils rien de mieux à faire de leurs journées que de se foutre du
matin au soir de la gueule des unijambistes timides amateurs d’eaux peu
profondes ?