C’est moi, c’est moi, c’est tout à fait moi, quelles antennes, comme il m’a bien saisi, le bougre ! me dis-je en refermant la remarquable et très pénétrante, donc, biographie de Kafka, par Reiner Stach.
Notre
individu prend beaucoup trop de place dans notre existence. Il faudrait ligoter
et museler cet agité, le rouler dans un tapis et le pousser dans un ravin. Nous
goûterions mieux la vie sans lui.
Pour
éparpiller ainsi ses pétales, il a fallu que cette rose éternue.