Rimbaud et Kafka – lesquels d’ailleurs ne semblaient guère se soucier de gloire littéraire – n’auront jamais su ni même soupçonné l’incroyable fortune posthume de leur œuvre. C’est à peine honnête, ce qui leur a été fait là, comme tout se sera joué à leur insu, en leur absence, comme ils auront été les dupes de leur destin, comme leur vie brève en somme leur aura été volée pour s’accomplir ultérieurement à notre seul profit.
puis
je versai
sur
mon parfait
un
coulis
de
mélancolie
Une
bouche ronde de métal noir, et qui mettrait la langue – quel baiser !