L’idée était plutôt de les faire prisonnières. Mais nos calots d’acier, tels des boulets de canon, pulvérisaient irrémédiablement les billes de terre de l’adversaire. Massacre épouvantable et vain. Cinquante ans plus tard, mes nuits sont encore lézardées par le remords.
Au
malheur aussi, on peut ajouter un peu de crème.
Il m’a
suffi de remonter la piste de ses grains de beauté pour la retrouver tout
entière.