C’était un grand amateur de nougat. Mais je m’avise soudain qu’il s’agissait là de son unique trait saillant et que l’hommage posthume que je me suis engagé à prononcer pour ses obsèques ne va pas s’écrire tout seul.
La brioche faisait le
dos rond ; le croissant dardait ses cornes. De l’un ni de l’autre, il ne
reste plus une miette.
Mais quels sont donc mes lecteurs, si peu nombreux
et dont la ferveur pourtant parvient à dégoûter tous les autres de mes livres ?