Mon calcul a été le suivant : adopter au milieu de la cinquantaine une existence de fumeur alcoolique. Tous les médecins vous le diront, de tels excès vous tuent inexorablement au bout de quarante ans. Ce qui devrait donc me garantir une mort à l’âge de 95 ans, qui me semble tout à fait acceptable.
Quand on me présente un
jeune enfant, je m’efforce de développer chez lui le goût de l’histoire, afin
qu’il ne m’oublie pas.
Il est tout scintillant
de rosée/ le vieil homme au poil gris/ mort dans le fossé/ cette nuit
[Amis d’Italie (du nord),
à l’occasion de la publication par Prehistorica editore de la traduction de Juste
ciel, Santo
cielo, par Gianmaria Finardi, je me montrerai, du 21 au 26 novembre, à
Turin, Milan, Bologne, Padoue, Rovereto et Parme. Précisions
ici.]