Je suis seul ce matin à travailler dans l’immense salle de la bibliothèque, avec pour projet d’y ajouter un livre.
Grâces aux prescriptions
obligeamment inscrites sur leurs paquets, j’avoue que j’achète plus volontiers
les cigarettes qui nuisent à mon entourage que celles qui provoquent
des maladies cardiovasculaires.
Si fine que sa taille s’est
effacée avant le reste de sa silhouette et que, durant quelques secondes, j’ai
vu s’éloigner deux moitiés de corps que ne liait plus que le commun désir de se
soustraire à leur tour à mon regard.