La mort brutale de Roger Federer m’a fichu un rude coup, un joueur si élégant, si fluide, si inventif, c’est une lourde perte… Pardon ? Que dites-vous ? Il n’est pas mort ? Grand bien lui fasse, mais, pour ce qui nous concerne, si nous ne devons plus le voir évoluer sur un court de tennis, cela ne revient-il pas au même qu’il repose ou se repose en paix ?
Combien d’oiseaux crashés
pour que tu en écrases à ton tour sur ton oreiller de plumes ?
J’ai fait nettoyer ma gouttière
obstruée par les feuilles mortes. Le chat ne pouvait plus se couler dedans.