Pour soigner non addiction à la solitude, j’ai décidé de rejoindre un groupe de parole qui rassemble des personnes victimes de la même passion morbide. Enfin, quand je dis rassemble… nous nous succédons à heure fixe – afin d’éviter tout risque de rencontre avec nos compagnons d’infortune – dans une petite pièce capitonnée où nous nous livrons à notre soliloque avant de sortir par une porte dérobée.
Mon deuxième espoir
ruine le premier.
En saurons-nous vraiment
plus après l’autopsie ?