… 804… 805… 806… 807… j’en étais là du décompte des brins d’herbe de ma pelouse, à quatre pattes dans le jardin, lorsque je tombai sur un corps en partie calciné, grossièrement dissimulé sous des branchages.
C’est
parce qu’il garde la courbure de la mamelle que le lait se coule si parfaitement
dans le bol.
Ce
chemin tout en virages n’a pas réussi à me semer ; s’il avait plutôt foncé
en droite ligne, je n’aurais sans doute pas pu suivre.
[Je
ne saurais trop recommander la magnifique exposition de Lionel Sabatté, Éclosion,
qui vient de s’ouvrir au Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Etienne
et qui se prolongera jusqu’au 2 janvier 2022. J’ai écrit un des textes du catalogue
qui l’accompagne, La Huitième vie du chat]