Force est de constater que l’Association des Amis d’Eric Chevillard bat de l’aile depuis que j’ai été écarté de sa présidence. Son bulletin ne paraît plus que très épisodiquement (il n’y avait même pas de poster central dans le dernier numéro !). Et le banquet annuel a été annulé (le Covid a bon dos).
Les murs sont si minces
que l’on entend gémir de plaisir la voisine et ronfler son mari. Et souvent en
même temps.
Mais au fait, que
faisons-nous de beau ces temps-ci ? Nous attendons la mort de Godard, puis
la fin du monde.