Mon ami Guy Robert a publié il y a quelques années aux Editions l’Arbre Vengeur un livre étonnant, Reconnus, dans lequel il relate toutes ses rencontres fortuites avec des célébrités. Il se trouve que j’ai plusieurs fois moi-même rencontré Jean-Pierre Bacri, dont nous déplorons aujourd’hui la mort. Je vivais à Paris, rue des Tournelles, au début des années 90. Je suppose qu’il n’habitait pas loin, car je l’ai souvent croisé, en ces années-là, rue Saint-Antoine ou Boulevard Henri IV – je ne prétends pas l’avoir connu, c’était ‘bonjour, bonsoir’, je lui disais bonjour, il me répondait bonsoir. Mais le hasard a voulu que je le revoie, beaucoup plus tard, sur une aire d’autoroute, descendant d’un bus de tournage, en Haute-Savoie, je crois. Il serait mort du cancer, nous dit-on, mais j’ai tendance à penser que Macron, Castex et le Covid ne devaient pas le passionner suffisamment…
Expliquez-moi…
dans les films de 1970, le vieux Paris de 1940 est moins bien reconstitué que
dans ceux d’aujourd’hui… ?
N’y
aurait-il de terre, et donc de Terre, que pour ensevelir les morts ?