Par cupidité, ce champion de tennis a vendu son image à deux équipementiers rivaux et joue donc avec une Adidas au pied droit, une Nike au pied gauche, deux chaussures dont les semelles n’ont pas exactement la même épaisseur, si bien qu’il clopine lamentablement sur le terrain et perd désormais tous ses matchs : les deux marques envisagent sérieusement de dénoncer son contrat.
Pas
commode au point que l’on puisse ranger dedans l’encombrant buffet.
Hurlements
et lamentations pitoyables, encore un surfeur qui crache dans la soupe d’ailerons
de requin.