Il n’existerait qu’une potion qui aléatoirement te procurerait ce que tu souhaites ou te tuerait net.
Quelques dizaines d’humains
tout au plus auront comptés pour nous dans le courant de notre existence. Nous
en aurons pourtant rencontrés, croisés, frôlés des centaines de milliers,
peut-être des millions. Oh, la solitude de l’homme ! Au moins les chiens
se reniflent le cul en passant.
Par le jeu des vents et
des courants aériens, ce nuage affecte un moment exactement la forme d’un nuage.
Ça ne dure pas, revoilà déjà l’aigle, le cheval et tante Lénou penchée sur sa broderie.