Ayant vidé son puits et épuisé sa mine, l’homme décida de partir. Il fit trois pas et constata qu’il était arrivé aussi au bout de son chemin.
Cependant, je veux
croire encore que le monde peut changer, grâce à l’ambianceur et l’influenceuse.
Je ne sais par quel
biais tortueux, en usant sans doute de la menace ou du chantage, la mante de
mer a réussi à me faire inviter au salon du livre de Turin. Je me croyais quitte
de sa hargne et de sa rancune. Il va de nouveau falloir en découdre.
[Amis italiens, je serai
donc à Turin pour une rencontre, vendredi 19 à 19h30.]