Ah tiens ! Le pape François a donc réussi à publier dans le nouveau roman d’Eric-Emmanuel Schmitt la postface qu’il avait initialement écrite pour La Chambre à brouillard et que mon sensitivity reader avait retoquée avant de prendre un congé maladie de trois semaines pour soigner sa nausée.
Or il y a aussi ces
fous au regard fixe qui non seulement ne délirent pas mais semblent terrifiés
par notre démence ordinaire.
Enfin, je laisse derrière
moi les âges de la frustration, de l’impéritie et de l’indécision pour
m’acheminer vers ceux de l’impuissance, de la déchéance et du renoncement.
C’est la vie bien comprise.