Il me semble qu’il serait juste aussi de féminiser les noms des grands hommes afin d’en finir une bonne fois avec tous ces siècles d’iniquité et de domination masculine – nous écrirons donc désormais Socrate·ine, Copernic·a, Michel·e-Ange·la, Napoléon·ne, Flaubert·e…
Les
ours polaires dénutris fondent à vue d’œil. Une vague de graisse ursine enfle
sur l’océan Arctique qui va déferler bientôt sur les terres habitées et tout
engloutir.
Je
comprendrais le chasseur s’il tuait le cerf d’un coup de boule. Et encore,
seulement si c’était pour les beaux yeux d’une biche.