Je m’étais perdu dans ma vie. La carte que je déployai sur mes genoux ne mentionnait que des lieux de mon passé, où je n’avais plus d’attaches. Alors, j’attendis la nuit, la nuit noire, épaisse. Et je pus reprendre ma route en terrain connu.
Elle est morte et
toutes les âmes des amoureux transis qu’elle retenait captives ont pu monter au
ciel.
L’eau coule et cela vous
semble aller de soi – alors qu’il n’en serait rien si je n’avais pas relâché
mon étreinte.