Le chapeau que ce mendiant a posé devant lui est un feutre taupé doublé de satin noir qui porte sur cette doublure, brodé au fil d’or, le nom d’un chapelier illustre. Ainsi indique-t-il aux passants qu’il mène grand train et qu’il ne s’agit donc pas de lui faire l’aumône d’une piécette.
Mais
où donc est caché l’archer qui décoche les hirondelles ?
Tant
qu’il restera un seul gorille des montagnes, on ne pourra pas dire que c’en est
fini de la domination masculine. Par bonheur, l’espèce est en voie d’extinction.