Pressés dans les transports, attelés à des tâches ingrates et répétitives, parqués dans des centres commerciaux, entassés dans des tours, achevés dans des hôpitaux surpeuplés… comment ne pas pousser un mugissement d’indignation devant les conditions déplorables de l’élevage intensif du bétail humain ?
Les
abeilles veillent à la pollinisation nécessaire à la reproduction des espèces végétales.
Si elles disparaissent, nous n’aurons plus d’oxygène à étaler sur nos tartines.
C’est
le printemps ! Quelqu’un y croit encore ?