1 100 000 m3, tel est le volume d’eau du lac Kir, à Dijon, – c’est dire le nombre de tentatives lamentables et pathétiques ratages du chanoine, alors maire de la ville, avant qu’il ne parvienne enfin à mettre au point le cocktail vin blanc/crème de cassis qui porte aussi son nom.
Je
m’interroge : est-ce qu’à l’époque où les livres étaient imprimés avec des
lettres de plomb, ils n’entraient pas mieux dans les têtes ?
Ce
n’est pas d’être renversée qui l’ennuie. C’est de devoir se relever. La quille
préférerait rester couchée comme tout le monde.