Alléché par la puanteur d’un fromage, je m’applique vainement à extraire de ce paradoxe le principe qui rendrait le monde désirable.
Baptiser
systématiquement ouragans et tempêtes de prénoms féminins, est-ce un acte misogyne
ou, au contraire, une manière de soutien au combat féministe ? Ce n’est
pas très clair.
Le secret ne peut être confié sans se désagréger, comme ces
antiquités enfouies dans le sable qui ne supportent pas de se trouver soudain
exposées à l’air. L’ombre et le silence participent de son essence ; le
fait brut n’existe pas hors de sa cachette. Il est donc vain d’attendre des
aveux.