Puis le vilain petit canard devenu cygne, en prenant de l’âge se vit pousser une queue de paon. Il mourut noyé, quelques années plus tard, entraîné au fond du lac par le poids de ses andouillers.
Les
pensées sont des satellites de la tête qui inlassablement en font le tour à l’intérieur.
Fin
de l’hibernation, je veux bien, mais pourquoi a-t-il fallu que cet ours se
réveille justement dans ma phrase et se mette aussitôt à en remonter pesamment le
cours pour trouver quelque chose à manger, ou quelqu’un ?